Liens :
Site
personnel de François-Xavier Bibert
Louis
Chédeville de Hanches (1606/1677) – Anecdotes et descendance
Julienne
Chédeville (1914/2015)
Ascendance
Julienne Chédeville
Le
grand incendie du Puits-Drouet du 18 juin 1898
Voir plus bas sur cette
page les bâtiments concernés et les victimes 
Colère
et Repentir – Poésie d’Adrien Bertholon
La FAMILLE de JULIENNE CHÉDEVILLE à CHARTRES
65, rue Saint-Chéron
par son fils

Julienne Chédeville
Page réalisée grâce à la mémoire
exceptionnelle de Lucie CHÉDEVILLE – LAGRANGE, ma tante, à la généalogie
familiale complète que j’ai patiemment reconstituée et contrôlée par le
recensement de 1901 de la ville de Chartres.

Lucie Lagrange
Julienne
CHÉDEVILLE, ma mère est née le 11 août 1914 au n°20 de la rue du Puits-Drouet.
Son père ayant été tué à la guerre dès septembre 1914, sa mère Thérèse Marie
VIVIEN épousa en 1920 en secondes noces un homme veuf nommé Henri LAGRANGE. La
famille recomposée, avec les trois enfants LAGRANGE (
 
   
  
Julien Chédeville – Marie-Thérèse Vivien – Henri Lagrange
 
  
  
  
  
 
Les enfants de la famille recomposée Lagrange et Chédeville au
65, de la rue Saint-Chéron
Tout changeait,
la vigne avait disparu à la fin du siècle : 
En octobre
1939, Julienne épousa Joseph BIBERT, mécanicien d’aviation du Groupe de Chasse
GC III/6 à la base aérienne122, déjà parti à la guerre, et qui pu avoir
une permission d’une seule journée pour revenir à Chartres !  La jeune mariée demeura à Saint-Chéron avec
sa mère, son beau-père et sa jeune sœur.
En mai 1940,
lors de l’invasion allemande, la famille LAGRANGE-CHÉDEVILLE se trouvait
dispersée mais Marie-Thérèse, sa fille Lucie, sa belle-fille et ses enfants,
une tante CHÉDEVILLE, sa nièce avec deux enfants partirent en exode comme tous
les habitants de Saint-Chéron. Ces neufs personnes se retrouvèrent à Vodable
dans le massif central où elle y séjournèrent jusqu’en septembre. La maison fut
pillée, comme toutes les autres, par des réfugiés de passage... ou plus
sûrement par des voisins pour le moins indélicats.
La débâcle
conduisit Joseph, avec les deux prestigieuses escadrilles du GC III/6, à se
réfugier en Algérie : Julienne, de Bordeaux gagna Marseille sur sa
bicyclette via Vodable et s’embarqua pour Alger rejoindre son mari. Celui-ci
repartit avec l’armée du général de Lattre de Tassigny chasser les nazis du sud
de la France vers l’Allemagne en septembre 44 et Julienne put se faire
rapatrier en février 45 en métropole avec sa fille de 3 ans ½, enceinte de 7
mois de votre serviteur ; la suite de la carrière militaire de Joseph
éloigna ensuite la famille de la Beauce.
Robert pompier
à Paris, s’étant marié en 1943, Henri et Thérèse LAGRANGE et leur fille Lucie,
18 ans en 1940, se retrouvèrent donc seuls à Chartres au n° 65, de la rue
Saint-Chéron et vécurent très difficilement les années d’occupation.
La nostalgie
des années follement heureuses d’avant la guerre s’installa définitivement dans
le quotidien de Lucie : ses parents décédèrent en 1951 et 1952. La maison
familiale qui lui était si chère fut vendue : elle vécut alors un temps au
n°46 de la rue Saint-Chéron puis à Lèves : elle était très belle, mais
très grande... Elle se maria finalement avec un homme de 14 ans plus âgé
qu’elle, veuf avec trois enfants adolescents, et n’en eut pas elle-même. A la
mort de son mari en 1980, elle resta seule, sans grandes ressources, dans
l’inconfort d’une vieille maison qui se délabrait, mais où beaucoup d’amis
venaient.
Elle avait en
effet une mémoire phénoménale des dates : naissance, mariage, décès, des
adresses et de plein d’autres choses autres, et un attachement incroyable à la
terre de Saint-Chéron et à ses racines.
Sa vie, c’était
de raconter... Toujours joyeuse, avec une force de caractère invraisemblable
malgré la dureté de son existence, c’est elle seule, quand j’entrepris dans les
années 2000 de vouloir connaître un peu l’histoire de ma famille chartraine,
qui put m’en narrer les épisodes que plus personne d’autre n’avait encore en
mémoire : détails futiles, secrets familiaux enfouis, anecdotes en tout
genre, dont celles concernant beaucoup d’aviateurs de la base aérienne voisine
qui avaient fait de la maison familiale, où ils étaient généreusement
accueillis avec chaleur, une véritable annexe du « foyer du
soldat » ! 
Un beau jour de
2005 - elle avait 83 ans et se déplaçait avec les plus extrêmes difficultés -
j’ai installé ma vieille tante dans ma voiture, et, pendant plus de deux heures
de temps, nous avons
remonté la rue Saint-Chéron et la rue du Puits-Drouet : tandis que je prenais des photographies (« google
street » n’existait pas encore !) et quelques notes faute coupable de
n’avoir pas prévu un enregistreur, elle m’a racontée, maison par maison, une
partie de l’histoire de ma famille en évoquant les innombrables souvenirs que
chaque pan de mur rappelait à sa mémoire...
Seules quelques
familles liées figurent ou sont documentées dans cette page. Pour chaque
personne citée, de très nombreux liens familiaux avec ma mère Julienne
CHÉDEVILLE existent en fait sur la douzaine de générations reconstituées :
un seul est présenté ici. Tous « cousins » dans la rue Saint-Chéron
et dans la rue du Puits-Drouet ! Et tous des descendants de ces rudes
familles de vignerons, ce que bien des chartrains ignorent de nos jours !
F-X. BIBERT (2005/2017)


CHARTRES
En remontant
le FAUBOURG SAINT-CHÉRON jusqu’au PUITS-DROUET
Tous
cousins !!!
| SAINT-CHÉRON |  | 
|  | Marbrerie
  DEBRÉ (au début de la rue) Julien CHÉDEVILLE, grand-père de  
 Julien Chédeville | 
| 
 « Google
  Street » 2008 | 7,
  rue SAINT-CHÉRON Maison de Paule JOUSSELIN
  (1919/2005), petite fille de Maxime CHÉDEVILLE, épouse de Robert HOUVET (sans
  cousinage) (1920/2005), tante de Claude  
 
 Maxime Chédeville -Marthe Chédeville -Paule Jousselin | 
| 
 F-X. Bibert 2005x | 17
  et 19, rue saint SAINT-CHÉRON Maisons de Joseph
  « Maxime » CHÉDEVILLE (1853/1930), frère de Albert
  « Charles » et de Marie Berthe MACÉ (1859/1941) (cousine au 5ème
  degré), arrières grands-parents de Claude  Dans la seconde maison, habitaient
  Lucie Alexandrine  MACÉ (1956/1932),
  sœur de Marie, avec son fils Maurice MACÉ (1880/1954) 
 
 
 Maxime Chédeville et Marie Macé | 
| 
 Collection Claude Warconsin 
 Collection Claude Warconsin | Cartes
  postales de la rue SAINT-CHÉRON Entre 1910 et
  1920 La même maison est la seconde à gauche.
  On aperçoit Marie MACÉ devant la grille. | 
| 
 « Google
  Street » 2008 | 25,
  rue saint SAINT-CHÉRON Café des « Deux entêtés » Marcel Adrien VIVIEN (1864/1919)
  (cousin au 7ème degré) et Lucie Armandine LIARD (1973/1949)
  (cousine au 6ème degré), parents de Marie-Thérèse VIVIEN (voir au
  n°46), marraine de Thérèse Marie VIVIEN, mère de Julienne CHÉDEVILLE. Autres
  cousinages plus ou moins éloignés par de multiples branches des deux côtés. Ils habitaient encore au 57, rue
  Saint-Chéron au recensement de 1901 
 
 
 Marie Thérèse Vivien (1904/1963) Fille de Marcel Vivien et de Lucie Liard | 
| 
 « Google
  Street » 2008 | 28,
  rue saint SAINT-CHÉRON Joseph MACÉ
  (1859/1935) et Marie Valentine COUDRAY (1867/1939) née à Mainvilliers. Leur fille aîné Joséphine Aurélie
  MACÉ (1886/1916) a été la première épouse d’Henri LAGRANGE, le beau-père de
  Julienne CHÉDEVILLE : c’était la mère d’ La cadette, Cécile Joséphine MACÉ
  (1898/1932) a été la première épouse de Georges LAGRANGE (1897/1953), qui fut
  directeur des Hôpitaux de Chartres, un des trois frère d’Henri LAGRANGE,
  beau-père de Julienne CHÉDEVILLE. 
 
 | 
| 
 | 35,
  rue saint SAINT-CHÉRON « La
  cité CHÉDEVILLE » Les deux maisons appartenaient à
  Stanislas dit « Joseph » CHÉDEVILLE (1863/1936) (grand-oncle), le
  plus jeune des frères d’ Albert Charles et Henriette JEULIN (1972/1964)
  (cousine au 7 degré), dont le fils Pierre devenu prêtre a réalisé la première
  généalogie des CHÉDEVILLE et le fils  Par contre Joseph et Henriette
  habitaient 18, rue des Bas-Bourgs. 
 
 
 Stanislas Chédeville et Henriette Jeulin | 
| 
 F-X. Bibert 2005x | 36,
  rue SAINT CHÉRON La maison de Jean Marie
  « Joseph » LAGRANGE (1890/1958) (beau-frère de sa mère par son
  remariage), le troisième fils de Léon LAGRANGE (1856/1931) (voir ci-dessous),
  mais aussi son cousin au 8ème degré et de Marthe  
 
 
 Joseph Lagrange et Marthe Vangeon | 
| 
 « Google
  Street » 2008 | 37,
  rue SAINT CHÉRON (à vérifier) Désiré VIVIEN (1825/1903) et Marie
  Rose BEAUVAIS (1823/ 1905), cousins au 7ème et 10ème
  degré. Descendants : VIVIEN,
  BONVALLET, GOUSSARD, DIARD, CABARET, BÉLIER. 
 
 
 René Bonvallet (1904/1973) Petit-fils de Alphonse VIVIEN et Marie Rose BEAUVAI, marié à : Madeleine Leclair (1906-1944) de Champhol, tuée lors d’un bombardement | 
| 
 F-X. Bibert 2005 x | 38,
  rue SAINT CHÉRON La maison de Léon LAGRANGE
  (1856/1931) et de Félicie BRUNEAU (1862/1917) née à Champhol, parents d’Henri
  LAGRANGE, le second mari de Thérèse Marie VIVIEN, mariée en premières noces à
  Julien CHEDEVILLLE. Léon LAGRANGE et Félicie BRUNEAU sont aussi cousins par
  de très nombreux liens de Julienne CHÉDEVILLE : deux exemples
  ci-dessous. Henri et Thérèse auront ensemble une
  fille, Lucie LAGRANGE (1922), demi-sœur de Georges et Julienne CHÉDEVILLE. Par contre, les nommés Eugène
  LANGLOIS et Célestine COURTOIS habitaient encore cette maison au recensement
  de 1901. 
 
 
 Léon Lagrange | 
| Zone reconstruite | 43
  rue Saint-Chéron Célestin Désiré
  LEROY (1840/1912) et Victoire Mélanie VIVIEN (1840/1918) qui ont d’abord
  habité au moins jusqu’en 1870 la maison familiale des LEROY du n°38
  (ci-dessus) où leurs enfants sont nés, devenue ensuite la propriété de son
  petit-cousin Léon LAGRANGE. Tous deux, bien entendu, sont aussi cousins de
  multiples façons de Julienne CHÉDEVILLE. 
 
 | 
| Zone reconstruite | 44,
  rue Saint-Chéron Victor Jean DOUBLET
  (1848/ 1911) et Marie Armandine BLET (1850/1932) habitaient encore cette
  maison en 1883. Descendants : GARNIER, BEIL,
  JAILLARD, THOMAS, BRUNNER (en Allemagne). Armand Alphonse VIVIEN et Florentine
  VALLET l’habitaient par contre au recensement de 1901. Leur fille Ermance et
  son mari Léon VIVIEN habitaient à coté au n°42, tous avec de très nombreux
  liens de cousinage. 
 
 | 
| 
 F-X.
  Bibert 2005x | 46,
  rue SAINT CHÉRON La maison d’ Son père Marcel CHESNIER (1899/1934),
  mort jeune de la tuberculose, avait épousé Marie Thérèse VIVIEN (1904/1963),
  née au n°25, filleule de Thérèse Marie VIVIEN, mère de Julienne. Les
  recherches généalogiques démontrent que les deux Thérèse avaient des
  cousinages multiples, dont celui ci-dessous (8ième degré), mais
  elles ne le surent sans doute jamais. 
   | 
| 
 F-X.
  Bibert 2005x | Impasse
  du Petit Séminaire Ancienne Ecole
  SAINT-CHÉRON Maintenant
  Lycée FULBERT (au niveau du
  52, rue SAINT-CHÉRON) | 
| Zone reconstruite | 57,
  rue Saint-Chéron Lucien Emile FOUQUEREAU (1867/1919)
  et Berthe Marie Eugénie GOUGET (1872/1950) de Brou. Recensement de 1901 
 | 
| Zone reconstruite | 59,
  rue Saint-Chéron Armand Edouard VIVIEN (1839/1905) et
  Adrienne Félicie CABARET (1842/1931). A la mort d’Armand, son fils Edouard
  Emile VIVIEN (1862/1931) et son épouse Marie Berthe Charlotte VILLARS (18701953),
  qui habitaient au n°15 de la rue d’Etampes s’y sont installés avec leurs 6
  enfants : 2 autres y naîtront. Ces enfants seront très amis avec
  les enfants LAGRANGE et CHÉDEVILLE, proches voisins. 
 
 | 
| 
 « Google
  Street » 2008 Zone reconstruite après 2010 
 Madeleine BONVALLET-LECLAIR figure sur la plaque
  apposée rue Saint-Chéron à la mémoire des victimes
  des bombardements de 1944. | 61,
  rue Saint-Chéron Marcel Léon Henri BONVALLET (1897/1941)
  (cousin au 5ème degré) et Marie Lucie Adrienne PERCEBOIS
  (1897/1978) (cousine au 7ème degré). Leur fils René (1904/1973) et son
  épouse Madeleine LECLAIR (1906/1944), qui habitèrent à la même adresse,
  effectuèrent un voyage touristique dans les Pyrénées, dont Lourdes, en
  septembre 1938 avec Julienne CHÉDEVILLE : voir leur photo au n°37. Madeleine LECLAIR fut tuée dans le
  bombardement de Chartres du 17 août 1944. 
 
 | 
| 
 F-X. Bibert 2005x | 65,
  rue SAINT-CHÉRON La maison de Thérèse Marie Augustine
  VIVIEN (1986/1951), veuve de Julien CHÉDEVILLE, et d’Henri LAGRANGE
  (1883/1852), à partir de mai 1922. C’est ici que Julienne CHÉDEVILLE a passé
  toute sa jeunesse avec son frère GEORGES (1911), sa demi-sœur Lucie LAGRANGE
  (1922) et les premiers enfants d’Henri :  Cette maison familiale fut
  malheureusement vendue en 1954 après le décès d’Henri. Elle existe toujours,
  et semble toujours aussi belle. En 1902 Emile
  DIARD (1874/1940) habitait cette maison avec sa mère Aimée Delphine LEMAÎTRE
  (1845/1923), lorsqu’il se maria avec Marie Adolphine BONVALLET (1875/1933),
  jeune veuve, tante de Marcel Léon Henri BONVALLET (voir au 61), dont les
  parents Adolphe Albert BONVALLET et Augustine Julie VIVIEN avaient habité
  successivement au 14, au 47 et au 61 de la rue Saint-Chéron. Emile et Marie
  Adolphine habitèrent ensuite au 39, rue du faubourg la grappe. | 
| 
 Collection F-X. BIBERT | 1934 65,
  rue SAINT-CHÉRON Julienne
  CHÉDEVILLE (1914) devant le cabriolet FIAT de son frère Georges. | 
| 
 Collection F-X. BIBERT | 1934 65,
  rue SAINT-CHÉRON Le Chien Kazan,
  deuxième du nom... | 
| 
 Collection F-X. BIBERT | 1945 65,
  rue SAINT-CHÉRON Devant la même maison, Marie-Thérèse
  BIBERT (1941), fille de Julienne, dans les bras de Geneviève BUTTET, une amie
  de jeunesse de Julienne. Ancre de fleurs réalisée par Lucie
  LAGRANGE pour le retour en France de Notre Dame de Boulogne : « Notre-Dame
  de Boulogne réapparaît pendant la Seconde Guerre mondiale. Portées de
  paroisse en paroisse, quatre reproductions de la statue sillonnent la France de 1943 à 1948 de Lourdes à
  Boulogne-sur-Mer. Ce voyage spectaculaire est orchestré par l’Eglise
  catholique qui veut ainsi provoquer un élan de retour à la foi et de
  conversions. En jouant sur les différents sens du terme, ce pèlerinage du
  "grand retour" désigne le retour de la statue à Boulogne et le
  retour à la foi. Dans une France meurtrie par le conflit, les habitants y
  voient une troisième signification : le "grand retour" des
  prisonniers de guerre retenus en Allemagne et des travailleurs du STO, et le
  retour de la paix. » 
 Geneviève Butet et Julienne Bibert en 1934 | 
| Zone reconstruite | 99,
  rue SAINT-CHÉRON Auguste Adolphe
  Désiré DOUBLET (1862/1906 (cousin au 5ème degré) et Alphonsine
  Félicie VANGEON (1864/1828) (cousine au 7ème degré) qui y
  habitaient au recensement de 1901 
 
 | 
| PUITS-DROUET |  | 
| 
 | 1901 1,
  rue du PUITS-DROUET Charles
  Narcisse MICHEL (1858/1926) et Eugénie Ernestine VIVIEN (1863/1945) 
 
 n°3 : Famille DHONNEUR – VOITEAU | 
|  | Avant 1901 1 et
  2*, rue du PUITS DROUET Paul Léon AUDELAN (1867/1957), de
  Saint Symphorien le Château, ami de la famille, et Louise Lucie FOUQUEREAU
  (1865/1957) qui fêtèrent leurs noces de diamant en 1953. * Cécile née au 1 en 1893 - Gaston né au 2 en 1895 - René né en
  1897 (sans numéro). La Famille AUDELAN déménagea avant
  1901 et s’installa au 4 de la rue d’Angerville. 
 | 
| 
 F-X. Bibert 2005x | 4,
  rue du PUITS-DROUET Maison de
  Vincent VIVIEN (1885/1836), fils de Jean-Baptiste « Vincent »
  VIVIEN et de Blanche COLAS, marié e 1908 à Margueritte ALBERT (1888/1973) de
  Mainvilliers, oncle maternel de Julienne CHÉDEVILLE. Famille TARENNE
  (sans liens familiaux) au recensement de 1901. 
 
 Vincent Vivien   | 
|  | Recensement de
  1901 5 et
  7, rue du PUITS-DROUET Marie Pauline
  BOILEAU (1840/>1911) veuve de Denis Augustin VIVIEN (1837/1885), tous deux
  cousins par de multiples liens. 
 
 | 
|  | Recensement de
  1901 : n°  9 : Famille BESNARD : sans liens établis n°11 : Maison détruite par l’incendie de 1898 n 13 : Maison détruite par l’incendie de 1898 | 
|  | 1901 6,
  rue du PUITS-DROUET Alexandre DOUBLET (1860/1938) et
  Marie Berthe Ernestine CHATEAU (1866/1837). Alexandre était le fils de Joseph
  Louis DOUBLET qui habitait pour sa part au n°15 (voir ci-dessous) 
 
 Berthe Château | 
| 
 F-X. Bibert 2005x | 2005 8,
  rue du PUITS-DROUET Maison de la
  famille DOUBLET. Augustine DOUBLET (1823/1913),
  arrière-grand-mère de Julienne CHÉDEVILLE, mère de Charles CHÉDEVILLE est née
  dans cette maison en 1823. Elle se maria avec Pierre Romain
  Désiré CHÉDEVILLE (1818/1888), Jardinier à LUISANT en 1841. Elle fut ensuite le domicile de
  Albert Charles CHÉDEVILLE (1858/1930) et de Louise Marie Félicie CABART
  (1858/1844), les grands-parents de Julienne. Deux de leurs enfants sont décédés
  en bas âge, et deux de leurs fils son morts pour la France : Julien, le
  père de Julienne en 1914 et Henri en 1915. Julien (1882) est né au n°1 de la
  rue du Puits-Drouet, sa sœur Georgette au n°16 (1886), les autres enfants
  (entre 1892 et 1897) au n°8. 
 Charles Chédeville et Félicie Cabart | 
|  | Maison détruite
  par l’incendie de 1898 10,
  rue du PUITS-DROUET Pierre Romain Désiré CHÉDEVILLE
  (18183/1888) et Augustine Emilie DOUBLET(1823/1913), arrières grands-parents
  de Julienne CHÉDEVILLE. Augustine DOUBLET habita au n°20
  après l’incendie. | 
| 
 F-X. Bibert 2005x | 2005 La
  rue des Druides à gauche a été
  percée dans les années 1950. Dans l’angle droit de cette nouvelle
  voie, à la place de la végétation, se trouvait la maison portant le n°10 des
  CHÉDEVILLE. La rue a été tracée sur
  l’emplacement du n°12. Dans l’angle gauche, le n°14. | 
| 
 
 | Maison détruite
  par l’incendie de 1898 12,
  rue du PUITS-DROUET Victor Justin
  CHÉDEVILLE (1847/1909) et Célestine Désirée FOUQUEREAU (1851/1893),
  grand-oncle et cousine au 7ème degré de Julienne CHÉDEDILLE. C’est de la
  maison d’en face qu’est parti le grand incendie du PUITS-DROUET de 1898
  allumé par un incendiaire nommé LABBE et qui causa la mort de 4 de leurs
  enfants. Un monument
  funéraire rappelle ce drame au cimetière de SAINT-CHÉRON. René Gabriel
  CHÉDEVILLE (1908/1980), petit-fils de Victor, a épousé en troisièmes noces
  Lucie LAGRANGE, ½ sœur de Julienne CHÉDEVILLE. 
 
 
 René Chédeville et Lucie Lagrange | 
| 
 F-X. Bibert 2005x | 2005 14,
  rue du PUITS-DROUET Maison détruite
  par l’incendie de 1898 – Inhabitée en 1901. Narcisse COLAS
  (1858/1952), frère de Blanche, grand-oncle de Julienne CHÉDEVILLE, marié à
  Camille Albertine MICHEL (1867/1829) ont fait construire cette nouvelle
  maison et s’y installèrent pour leur retraite vers 1913. Lucienne COLAS, leur
  fille, (1899/1985), marraine de Julienne CHÉDEVILLE sa petite cousine, mariée
  plus tard à Georges NOLLET (1895/1982) est née pour sa part au 1 ; rue
  de la Pie, là où ses parents tenaient le Café des 4 coins. n° 16 : Maison détruite par l’incendie de
  1898 
 
 
 Narcisse Colas et Camille  | 
|  | 1901 15,
  rue du PUITS-DROUET Joseph Louis DOUBLET
  (1819), oncle de Albert Charles CHÉDEVILLE, grand-père de Julienne,  veuf de Julie MACE (1824/1880) 
 | 
| 
 F-X. Bibert 2005x | 2005 17,
  rue du PUITS-DROUET (en
  face du numéro 20) Au fond de la
  cour, la maison de Jean-Baptiste « Vincent » VIVIEN (1855/1919) et de
  Blanche COLAS (1860/1944), arrières grands-parents maternels de
  François-Xavier BIBERT, parents de Vincent et de Thérèse Marie VIVIEN. L’incendie du
  PUITS-DROUET, parti de la maison aux volets bleus ravagea la rue des n°12 au
  n°20, mais la maison VIVIEN fût épargnée (à vérifier). n°
  19 : Non cité dans le recensement de
  1901. 
 Vincent Vivien et Blanche Colas | 
| 
 F-X. Bibert 2005x | 2005 18,
  rue du PUITS-DROUET 1901 Marie Julie MACE (1837/1919) veuve
  de Martial Alexandre PELLETIER (1832/1898 *) Victor PELLETIER (1868/1948), son
  fils, marié en 1907 à Maria CHÉDEVILLE (1873/1956), fille de Victor, frère
  plus âgé de Albert Charles. * Mort dans le grand incendie du Puits-Drouet de 1898 : sa
  fille Mathilde, 25 ans, voulut récupérer son corset dans la petite maison au
  fond de la cour ; son père retourna le chercher et en traversant la
  grange en feu, celle-ci s’écroula sur lui. 
 
 
 | 
| 
 F-X. Bibert 2005x | 2005 20,
  rue du PUITS-DROUET Maison d’Augustine DOUBLET après l’incendie
  de 1898 où elle est décédée en 1913. Elle était l’épouse de Pierre Romain
  Désiré CHÉDEVILLE : voir au n°10. Elle la vendit à son petit-fils
  Julien CHÉDEVILLE et à Thérèse Marie VIVIEN au moment de leur mariage en
  1909. Au 1er étage sont nés Georges (1910) et Julienne CHÉDEVILLE
  (1914). Après la mort de Julien en 1914, Thérèse et Henri LAGRANGE y ont
  habité maritalement avant d’acquérir ensemble la maison du 65, rue
  Saint-Chéron, où ils s’installèrent 3 mois après la naissance de leur fille
  Lucie (1922) qui eut donc lieu également au 1er étage de cette
  maison du Puits-Drouet. A noter qu’Henri LAGRANGE avait déjà
  vécu dans la maison de Saint-Chéron avant le décès de sa première épouse
  (1916), où ses deux derniers enfants, Denise (1912) et Robert (1915), étaient
  nés, avant de retourner s’installer avec eux chez ses parents au n°36. n°
  22 : Non cité dans le recensement de 1901. | 
|  | 1901 21,
  rue du PUITS-DROUET Paul Edouard
  COLAS (1955/1955) dit « Le Turco », grand-oncle de Julienne BIBERT,
  et Adèle Blanche BRETEAU dite « la Cadelle » (1861/1948), sans
  cousinage avéré, ce qui est rare... n°
  23 : Non cité dans le recensement de
  1901 
 
 Edouard Colas Le grand-père
  maternel d’Edouard Colas était  
 Né au 18ème siècle | 
|  | 1901 24,
  rue du PUITS-DROUET Jules François
  MACE (1834/1915) et Louise Célestine LANGLOIS (1837/1923), cousins au 6ème
  et 9ème degré de Julienne CHÉDEVILLE. Dernier numéro
  pair en 1901. 
 
 | 
|  | 1901 25,
  rue du PUITS-DROUET Désirée
  Virginie SAGOT (1833/1922) veuve de Denis Désiré VANGEON (1825/1894), cousins
  de Julienne CHÉDEVILLE par des liens d’ascendance multiples, dont
  ceux-ci  par exemple : 
 
 | 
|  | 1901 27,
  rue du PUITS-DROUET Léon Denis
  VANGEON (1869/1944), son fils, et Armandine Félicie VIVIEN (1870/1946), aussi
  cousine de Julienne CHÉDEVILLE par de multiples liens à des degrés divers. Dernier numéro
  impair en 1901. 
 
 
 Léon Vangeon et Armandine Vivien | 
| 
 F-X. Bibert 2005x | 2005 Dans la fourche des rues de Sours et
  du 17 août est érigée une croix toujours visible de nos jours. C’est la femme de Charles
  CHÉDEVILLE, Augustine DOUBLET, qui en est 
  à l’origine, pour garder la mémoire du grand incendie de 1898 et qui a
  organisé vers elles des processions d’actions de grâces... | 
| 
 F-X. Bibert 2005x | 2005 En
  face du 42 de la rue de LAUNAY, la CROIX BONNARD. Julienne
  CHÉDEVILLE a été photographiée à cet endroit en décembre 1932. 
 | 
| LE
  COUDRAY |  | 
| 
 F-X. Bibert 2005x | 2005 LE
  COUDRAY -23, rue MARCEAU La ferme d’ 
 
 
 Pierre Vallet et  | 
| LUISANT |  | 
| 
 F-X. Bibert 2005x | 2005 LUISANT Les CHÉDEVILLE sont issus de MORANCEZ,
  mais Pierre Benoît Clotaire CHÉDEVILLE et son épouse Julie PERRUCHET, née à
  BONNEVAL, se sont établis à LUISANT au début du 19ème siècle. Pierre Benoît Clotaire fut Grenadier
  de la Garde Impériale et titulaire de la croix de Sainte- Constant CHÉDEVILLE a été adjoint au
  Maire de 1879 à 1900 et une sente porte son nom. 
 Collection Claude Warconsin | 
| 
 F-X. Bibert 2005x | 2005 LUISANT
  - Rue MARCEAU La maison des
  CHÉDEVILLE, située au numéro 25 a disparu. Par contre au
  15 de la rue Pasteur existe toujours la maison des parents du Sénateur
  Raymond POIRIER, longtemps Maire de Luisant, dont la grand-mère était une
  sœur de Louise Félicie CABART, épouse de Charles CHÉDEVILLE, les arrières
  grands parents de  
 
 Raymond Poirier | 

Recherches et mise en
page
2005-2017
Droits réservés